Lydie&David

la chanson de Philippe ! "Ma frangine"



les photos de l'événement !


2 Extraits du Discours réalisé pour l'anniversaire !
Acte III : le Paing
Sans se faire prier, Christine se Gare place de l’église, peut-être une envie éclaire de religieuse. enfin c’est ce que je croix. A cette heure là d’habitude c’est marché, même s’il faut faire ses courses à pied. Un peu plus loin, la femme du boulanger dont on devine les bas guette le client. A l’intérieur cela sentait bon la chouquette et la madeleine bien parfumée, La boulangère se plaignant de son mal au Dos Ré Mie du pain trop cuit à Christine, il n’en fallait pas moins pour la mettre en boule, il n’était pas question de se laisser rouler dans la farine, « je le veux bien blanc » s’écria t’elle. Et au moment de sortir, flute, maman glissa et tom bannette les 4 pates en lin, oui elle manquait d’aire…. oh cela tournesol. Un amiche Albert, Shon, Shésame, l’aidant à se relevain avec fougassité. Je sais, c’est un véritable festival, prenez en de la graine. ET encore je ne vous ai pas fait la version dont je suis le plus friand, « elle seigle ça va faire une croute ».


Acte VI le dénouement « elle ne manque pas d’herbe « ou un soupherbe thym !
Avec ses soixante ans, je ne sais pas si c’est l’airbe de Provence, mais Christine a un joli thym, comme dirait sariette, Olivier ou Marjolaine, vous laurier parier, elle pourrait attirer plus d’un romarin, il ne manquerait plus qu’on lavande. Alors vas y Maman, pour ton anniversaire embrasse la fenouille, apparaitra le prince charmant qui combattra pour toi l’estragon cracheur de feu et mettra dans le cerfeuil l’origan. De ce conte ensenteur, nous rêvons d’amour basilic et malheureusement même au pays des saujes tout a une faim. Al dante ! Al dante ! égoutez moi ! Même si Je m’epate moi-même, avec la ferveur qui vous gagne, ne me jetez pas de tomates car on ne Gâche pas chaud même si c’est soupherbe ! IL est tant que cela s’arrete, comme diraient Michel et Christiane « allez au daudon ! » c’est vrai qu’il est peut-etre l’heure que j’aioli !